«S’il fait beau, c’est qu’il a fait mauvais», dit le proverbe jivaro,
et nous pouvons peut-être enfin commencer à mesurer, non sans fierté, le chemin parcouru depuis le début du progrès qu'on n’arrête décidément pas et dont on fait de si jolis drones.
Et si aujourd'hui, à l'heure du répit, au seuil des grandes vacances il n'y a pas d'été, sommes-nous pour autant eus ?
Et livrés corps et biens à de nébuleuses politiques d'austérité,
oignons-nous bien d'écran total car s’il fait mauvais, c’est qu’il fera beau.